Parts sociales : la BRED procède à une augmentation de capital
NOUVEAUTÉ !La BRED procède à une augmentation de capital du 9 septembre au 7 décembre 2024.
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Le coût de la rentrée universitaire atteint pour septembre 2024 la somme de 3 157,01 euros selon la FAGE, pour un étudiant non boursier. Chiffres publiés ce mercredi 4 septembre 2024, relayés par FranceInfo. Cela représente une hausse de 85,69 euros par rapport à l’an dernier (+2.8%). La Fage alerte sur des inégalités entre les différents territoires, avec une rentrée universitaire qui s’élève à 4 394,75 euros pour un étudiant ultramarin.
La Fédération déplore "le coût considérable" que représente cette rentrée pour les étudiants, "les mettant en grande difficulté financière". Cette année encore, le plus gros poste de dépenses reste le loyer, qui représente près de la moitié des frais de la vie courante. Il est en moyenne de 520 euros en régions, contre 688 euros en Île-de-France.
Les étudiants sont adeptes du jeune intermittent, finances obligent. Ces montants tirent par le haut les frais de la vie courante qui atteignent en moyenne 1 238,47 euros, soit 15,70 euros de plus qu’à la rentrée 2023. Autre inquiétude de la Fage, "les étudiants sautent en moyenne plus de trois repas par semaine" et "près de 20% ne mangent pas à leur faim". À noter cependant une très légère baisse des coûts liés à l’alimentation pour un étudiant entre 2023 et 2024 : celui de la restauration universitaire n’a pas bougé, 66 euros en moyenne, celui des consommables – alimentaires a baissé de 4,70 euros en un an (-2,25%).
Après un gel de cette dépense pendant six ans, elle augmente de 5 euros cette année selon la Fage (+2,94%).
La Fage tient à dénoncer des "frais illégaux" : des frais obligatoires pour suivre une formation, comme l’achat de livres ou de logiciels spécialisés. Le syndicat étudiant estime à 176,46 euros ce coût de matériel pédagogique spécifique. C’est d’ailleurs, proportionnellement parlant, la plus grosse hausse de coûts entre la rentrée 2023 et celle de 2024 (+25,24 euros ; +16,69%). Viennent ensuite l’assurance logement (+7,42 euros ; +9,90%), puis les loisirs (+3,63 euros ; +7,83%).
La Fédération dénonce depuis plusieurs années la hausse constante du coût de la rentrée pour les étudiants. Toutefois la FAGE a publié cette étude pour un étudiant non boursier. La Fage accuse le gouvernement de durcir "l’accès à l’enseignement supérieur des plus précaires en augmentant les charges qui leur incombent sans jamais revaloriser à la hauteur leurs aides sociales". La Fage réclame donc des mesures fortes pour pallier la situation sociale alarmante des étudiants. Elle demande par exemple l’ouverture des repas Crous à 1 euro pour tous, la revalorisation du montant des APL (aide personnalisée au logement), ou encore le gel des frais universitaires.
Méthodologie : "L’indicateur présente le coût de la rentrée pour un étudiant de 20 ans en licence à l’université, sans double inscription, non boursier et n’habitant plus au domicile familial", précise la Fage. Il prend donc en compte les frais de vie courante (loyers et charges locatives, alimentation, loisirs, transports, téléphonie et internet, vêtements et produits d’hygiène et d’entretien) ainsi que les frais spécifiques à la rentrée, comme les frais d’inscription, la cotisation à la CVEC, les frais d’agence, la souscription à une assurance logement, une complémentaire santé et l’achat de matériel pédagogique.
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